Avec une période d’immersion totale de cinq jours, le projet "Gravir le Kilimandjaro” était une initiative ambitieuse qui répondait à plusieurs objectifs : prôner la nécessité de s’imposer des défis pour évoluer et permettre la construction d’un puits au Burkina Faso avec l'association “Yalla en Avant”. Initialement, cette aventure GlobeDreamers a été proposée par l’un de nos porteurs de projet aux multiples talents, Alexandre Kesteloot.
D’un naturel enthousiaste et sincère, cet individu est le fondateur d’un lieu de bien-être à destination des particuliers en Belgique qui rassemble le coaching de vie, de nutrition ainsi que le personal training. Passionné par l’humain, Alexandre souhaite également représenter un exemple du dépassement de soi pour ses clients, à l’image de son entreprise qu’il a lancé dans le contexte économique troublé de la seconde vague de Covid-19.
Dans la suite de cet article, nous vous proposons de découvrir les aspirations et ambitions de ce porteur de projet plus en détail, au travers de la réalisation de son voyage engagé.
Une intention claire
Comme expliqué précédemment, le projet d’Alexandre était de réaliser l'ascension du Kilimandjaro, c’est-à-dire de la plus haute montagne d’Afrique située en Tanzanie. Considéré comme le quatrième des sept plus hauts sommets du monde, il prévoyait d’atteindre ce lieu via son pic le plus haut appelé “Uhuru”, dont l’altitude s’élève à 5 895 mètres.
Pour cela, il a donc fait le choix de réaliser son voyage en collaboration avec la plateforme GlobeDreamers, avec laquelle il était convaincu du bon déroulé de son aventure. En effet, il considérait que l’accompagnement proposé s'adaptait parfaitement à ses objectifs, à savoir prôner le dépassement de soi et les activités physiques. Il souhaitait également que la plateforme sélectionnée reflète au mieux ses valeurs profondément ancrées dans l’humain.
De fait, ce porteur de projet a sélectionné un guide ainsi que rejoint un groupe composé d’une dizaine de personnes pour réaliser cette aventure. Ces derniers ont emprunté la voie Marangu le 6 octobre, avant d’arriver à destination, cinq jours de marche plus tard, le 10 octobre 2022. Malgré le fait qu’il s’agisse là de la route la plus courte, cette dernière nécessitait une forme physique particulière, à laquelle Alexandre s’était préparé. En amont de cette aventure, il a effectivement adopté des entraînements physiques, respiratoires et de récupération pour être performant lors de longues marches en altitude.
Des attentes spirituelles
De la même façon, l’une des ambitions de notre porteur de projet était d’atteindre, au fur et à mesure de l’ascension du Kilimandjaro, un état de profonde reconnexion à lui-même. Étant privé de réseau durant l’ascension jusqu’au pic Uhuru, Alexandre souhaitait profiter de l’expérience afin d’apprécier la nature et l’ensemble de ses bienfaits. Il s’agit là d’un point qui était important pour lui étant donné qu’il souhaitait représenter un exemple et inspirer des individus à quitter leurs zones de confort et à se lancer des défis pour évoluer.
Dès lors, il était question d’une aventure allant au-delà du simple challenge sportif, d’autant plus qu'Alexandre avait des intentions solidaires grâce au don de 10% de sa cagnotte à l’association “Yalla en avant” pour construire un puits au Burkina Faso. Il s’agissait ici d’un projet mené avec tant de détermination qu’il a obtenu une dizaine d’entreprises sponsors, telles que la société All Risks Insurance ou le salon de thé de Mouscron en Belgique, Tea Room. Enfin, il était aussi question d’une expérience humaine où les étapes du parcours permettaient à Alexandre de découvrir les membres de l’équipe des randonneurs.
Un choix solidaire
Comme abordé ci-dessus, le projet Gravir le Kilimandjaro détenait des ambitions engagées grâce au reversement d’une partie de la cagnotte à l’association “Yalla en Avant". Fondée en 2011, cette organisation liégeoise intervient pour les enfants en situation précaire en Belgique, au Bénin ainsi qu’au Burkina Faso. Pour cela, elle axe ses actions en faveur d’un meilleur accès à la nourriture, à l'éducation ainsi qu'aux soins. Alexandre a fait le choix de soutenir cette association, car l’une des marraines de la structure était une membre de l’expédition vers le Kilimandjaro. Il lui apparaissait donc qu’il s’agissait là d’une option très concrète afin de pouvoir constater les résultats de la somme reversée.
Nous vous invitons également à découvrir le récit audio de l’aventure d’Alexandre avec le podcast suivant, réalisé avec notre partenaire StereoChic.